Alors que les ressources de la planète suffiraient à nourrir douze milliards d'êtres humains, la pauvreté dans le monde s’accroît, la nature, considérée comme un bien matériel, est pillée, les écosystèmes se meurent.
Le dogme d’une croissance infinie dans un monde fini est dépassé. Il est urgent de changer de paradigme, de reconsidérer le lien qui nous unit à la terre, de valoriser la coopération plutôt que la compétition pour le bien-être de l’humanité dans son ensemble. L’agroécologie le permet.
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